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Guide d’usage de l’intelligence émotionnelle en entreprise

Guide d’usage de l’intelligence émotionnelle en entreprise

18 juin 2020

Les décisions, la communication, le leadership et la culture d’entreprise dépendent de la façon dont nous exprimons et comprenons les émotions.

Parmi les entreprises qui font face à de multiples cas de harcèlement, une rotation rapide de leurs collaborateurs/collaboratrices, des difficultés de management, du stress excessif et des burnout, nombreuses doivent réaliser que leur culture est mise à l’épreuve par les émotions des un.e.s et des autres.

Lorsque les gens quittent leur emploi, c’est souvent du fait d’un.e manager toxique – et la toxicité, chez un.e manager, dénote souvent un déficit d’intelligence émotionnelle.



Alors comment inclure l’intelligence émotionnelle dans vos pratiques RH et managériales ? A quel point pouvons-nous intégrer les émotions dans un contexte professionnel ? Et de quelles émotions parle-t-on exactement ?



Dans cet ebook vous découvrirez l’origine du concept d’intelligence émotionnelle, son intérêt, ses usages, mais aussi ses limites dans le milieu professionnel et nos conseils pour la développer dans votre management ou au sein de votre entreprise.

Dans cet e-book

Les entreprises qui marchent bien créent un environnement dans lequel les individus se sentent en sécurité.

Les signaux qui leur sont envoyés pour ce faire remplissent trois critères : l’énergie qui caractérise chaque échange ; l’individualisation (chaque personne se sent unique et valorisée) ; et l’orientation vers l’avenir (avec des signaux qui indiquent que la relation est appelée à se poursuivre).

L’expression des émotions dépend beaucoup de la culture de l’entreprise, y compris la culture régionale ou nationale.

Par exemple, les Français.es expriment leurs désaccords en public, mais pas les Japonais.es. Les Américain.e.s font montre d’un enthousiasme démesuré, mais pas les Allemand.e.s.

En octobre 2019, une étude affirmait que 56% des salariés Français font davantage confiance à un robot pour les manager qu’à une personne « en chair et en os » sauf pour trois tâches essentielles : comprendre leurs sentiments, les coacher et créer une culture d’entreprise.

Dans l’ensemble, les tâches qui touchent à l’expression, à la communication et la prise en compte des émotions.